Hier à l’IMS, jeudi 21 juillet, a eu lieu la Conférence-débat organisée par l’équipe d’Antilla sur le thème de la gestion des déchets du BTP et la REP PMCB à la Martinique qui devra être appliquée en 2023.
Celle-ci – complément du magazine Hors-série sur ce thème – fut l’occasion de présenter la situation actuelle et les conséquences à la Martinique. Ainsi, sous le pilotage de Pascal Saffache, nous avons pu échanger grâce aux interventions de :
- Jean-Michel Maurin, représentant le Préfet de Martinique et directeur de la DEAL,
- David Zobda, Conseiller Ecécutif de la CTM et Maire du Lamentin,
- Jean-François Mauro, directeur de l’ADEME Martinique,
- Damien Huot-Marchand de la DEAL Martinique,
- Stéphane Abramovici de Entreprises et Environnement,
- Tony Boclé, président du Cobaty Martinique,
- Et d’un public de 90 chefs d’entreprises et de personnes intéressées par le thème du jour.
Vous trouverez très prochainement dans nos colonnes le bilan de cette conférence réalisé par nos journalistes.
Philippe Pied
Une autre conférence sur le thème de l’ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF à la Martinique, est prévue le 21 Septembre prochain, suite à la sortie prochaine du Magazine Hors-Série d’ANTILLA en cours de préparation.
POUR INFO :
Les déchets du BTP représentent le principal flux de déchets de l’Union Européenne. Leurs prévention et gestion est en enjeu incontournable pour les acteurs de l’acte de construire, avec des effets bénéfiques potentiels considérables en matière de préservation des ressources non-renouvelables, d’amélioration de la qualité de vie et du développement d’un tissu économique local.
L’activité du BTP constitue un levier d’action essentiel pour réduire la production des déchets, augmenter leur réemploi, réutilisation et valorisation et par conséquent préserver les ressources non renouvelables. Force est de constater que ces démarches ne sont pas systématiques. Les raisons sont multiples. La connaissance des matériaux recyclés, la maîtrise des règles techniques, l’appréhension vis-à-vis de risques juridiques ainsi que les sensibilités sociétales inhérentes à la problématique des déchets figurent parmi les principaux freins.