Une information qui va apaiser les souffrances d’un peuple et de ceux -nombreux- ayant émigré aux Antilles françaises, appelés “Syriens”, par assimilation à cette autre émigration Levantine venue chercher refuge en Martinique
Récap Face à la crise de la faim qui s’aggrave à Gaza, Tsahal a annoncé « une pause tactique » quotidienne dans plusieurs zones et la mise en place de couloirs sécurisés pour les convois de l’ONU et des ONG. De l’aide humanitaire a aussi été parachuté dans la nuit.
L’armée israélienne a annoncé ce dimanche 27 juillet qu’elle observerait « une pause tactique » quotidienne dans plusieurs zones de la bande de Gaza et la mise en place de couloirs humanitaires sécurisés pour les convois de l’ONU et des ONG afin de faire face à une crise de la faim qui s’aggrave.
Israël a également annoncé ce dimanche avoir parachuté de l’aide humanitaire sur le territoire palestinien, après des semaines de pression internationale pour permettre l’arrivée de vivres et autres denrées vitales à la population affamée, dans le territoire palestinien ravagé par plus de 21 mois de guerre. « Le Nouvel Obs » fait le point sur les annonces israéliennes.
« La pause sera observée de 10 heures à 20 heures (9 heures à 19 heures en France) à partir d’aujourd’hui (ce dimanche) », à commencer par les zones de Deir-al-Balah (centre), al-Mawasi (sud) et la ville de Gaza (nord) où il n’y a « pas d’opérations militaires », a indiqué l’armée israélienne dans un communiqué.
Des « couloirs permanents » seront mis en place « de 6 heures à 23 heures (5 heures à 22 heures en France) pour permettre le passage en toute sécurité des convois de l’ONU et des organisations d’aide humanitaire qui livrent et distribuent de la nourriture et des médicaments à la population de la bande de Gaza », ajoute-t-elle.
« Des camions égyptiens chargés d’aide ont commencé à entrer dans la bande de Gaza par le point de passage de Rafah », frontalier avec l’Egypte, a annoncé ce dimanche matin le média égyptien, proche du pouvoir, Al-Qahera News, dans un message sur X accompagné d’images montrant des convois dans la zone frontalière.



