Les parties civiles (Assaupamar, Ecologie Urbaine, Amses)ont été entendues le mercredi 20 janvier pour se faire annoncer en visio-conférence, par le juge d’instruction du pôle santé du tribunal de Paris la prescription de leur action. Les premières plaintes datent de 2006 et l’utilisation du chlordécone a été officiellement interdite aux Antilles en 1993.

Louis Boutrin, pour Ecologie Urbaine, a contesté cette interprétation  considérant que des faits plus récents viennent contredire cette analyse.
Il a contesté la prescription et évoqué la possibilité d’aller vers la Cour Européenne des Droits de l’Homme (CEDH).

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