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    Home » La crise économique liée au Covid-19 risque de déstabiliser les pays
    Entreprises

    La crise économique liée au Covid-19 risque de déstabiliser les pays

    août 14, 2020Mise à jouraoût 14, 2020Aucun commentaire
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    Les mouvements de protestation risquent de se renforcer, notamment en Afrique et en Amérique latine.

    Antoine Hasday

    Les mouvements de protestation risquent de se renforcer, notamment en Afrique et en Amérique latine.

    Antoine Hasday

    Pas moins de trente-sept États pourraient être déstabilisés durant la deuxième moitié de 2020, avertit le cabinet de conseil Verisk Maplecroft dans un nouveau rapport. Le chômage, les pertes de revenus et la faim, engendrés par la pandémie de coronavirus, pourraient gonfler les rangs des protestataires, alimentant manifestations et émeutes.

    Début mars, avec la mise en place des mesures de confinement, l’instabilité s’est réduite dans les marchés émergents, selon les données d’ACLED (Armed Conflict Location and Event Data Project).

    Mais les mouvements de protestation sont déjà presque revenus à leurs niveaux pré-pandémie. Ils devraient encore s’amplifier dans les deux à trois prochains mois. Les revendications portent le plus souvent sur les inégalités socio-économiques, les droits civils et politiques et la lutte contre la corruption.

    Personne n’est épargné

    Le Nigéria, l’Iran, le Bangladesh, l’Algérie et l’Éthiopie sont les pays les plus à risques, selon Verisk Maplecroft. Mais le danger n’est que légèrement plus faible pour des économies émergentes comme l’Inde, le Brésil, la Russie, l’Afrique du Sud, l’Indonésie et la Turquie.

    En Afrique subsaharienne, le déclin économique, la pauvreté et le manque de nourriture accroît le risque de manifestations; notamment au Nigeria, en République démocratique du Congo et en Éthiopie.

    En Éthiopie, la situation s’est déjà enflammée: suite à la mort d’un musicien et activiste Oromo, Hachalu Hundessa, 166 personnes sont déjà mortes dans des manifestations de masse. En RDC, la hausse du prix de la nourriture et le conflit autour de la commission électorale engendre de l’instabilité. Le Nigeria pourrait subir un sort similaire.

    En Amérique latine, ce sont le Venezuela et le Pérou qui sont le plus en danger. Mais le Chili, le Brésil et l’Argentine se trouvent eux aussi dans une situation très précaire.

    Dans les pays disposant d’une forte capacité de «rebond», les problèmes préexistants vont continuer à engendrer de l’instabilité: mobilisation contre la loi sur la citoyenneté en Inde, manifestations pro-démocratie à Hong-Kong et mouvement Black Lives Matter aux États-Unis

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    Pas moins de trente-sept États pourraient être déstabilisés durant la deuxième moitié de 2020, avertit le cabinet de conseil Verisk Maplecroft dans un nouveau rapport. Le chômage, les pertes de revenus et la faim, engendrés par la pandémie de coronavirus, pourraient gonfler les rangs des protestataires, alimentant manifestations et émeutes.

    Début mars, avec la mise en place des mesures de confinement, l’instabilité s’est réduite dans les marchés émergents, selon les données d’ACLED (Armed Conflict Location and Event Data Project).

    Mais les mouvements de protestation sont déjà presque revenus à leurs niveaux pré-pandémie. Ils devraient encore s’amplifier dans les deux à trois prochains mois. Les revendications portent le plus souvent sur les inégalités socio-économiques, les droits civils et politiques et la lutte contre la corruption.

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    Personne n’est épargné

    Le Nigéria, l’Iran, le Bangladesh, l’Algérie et l’Éthiopie sont les pays les plus à risques, selon Verisk Maplecroft. Mais le danger n’est que légèrement plus faible pour des économies émergentes comme l’Inde, le Brésil, la Russie, l’Afrique du Sud, l’Indonésie et la Turquie.

    En Afrique subsaharienne, le déclin économique, la pauvreté et le manque de nourriture accroît le risque de manifestations; notamment au Nigeria, en République démocratique du Congo et en Éthiopie.

    En Éthiopie, la situation s’est déjà enflammée: suite à la mort d’un musicien et activiste Oromo, Hachalu Hundessa, 166 personnes sont déjà mortes dans des manifestations de masse. En RDC, la hausse du prix de la nourriture et le conflit autour de la commission électorale engendre de l’instabilité. Le Nigeria pourrait subir un sort similaire.

    En Amérique latine, ce sont le Venezuela et le Pérou qui sont le plus en danger. Mais le Chili, le Brésil et l’Argentine se trouvent eux aussi dans une situation très précaire.

    Dans les pays disposant d’une forte capacité de «rebond», les problèmes préexistants vont continuer à engendrer de l’instabilité: mobilisation contre la loi sur la citoyenneté en Inde, manifestations pro-démocratie à Hong-Kong et mouvement Black Lives Matter aux États-Unis

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