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Le Premier ministre de la Dominique, Roosevelt Skerrit, a chaleureusement félicité le Premier ministre élu de Sainte-Lucie, Phillip J. Pierre, suite à sa deuxième victoire électorale consécutive, qualifiant ce résultat de vote de confiance retentissant envers le leadership de Pierre et les politiques du Parti travailliste de Sainte-Lucie.
Pierre et son parti ont été réélus avec une majorité écrasante de 14 sièges sur 17 au Parlement. Son rival, Allen Chastanet, chef du Parti des travailleurs unis (UWP), a remporté la seule victoire de son parti en conservant son siège. Deux sièges ont été remportés par des candidats indépendants.
Skerrit a qualifié la victoire d’« écrasante », affirmant qu’elle témoigne de la confiance que le peuple de Sainte-Lucie a placée en Pierre et en son gouvernement. Il a souligné que ce succès reposait sur la disponibilité de Pierre et son engagement à rester proche des citoyens.
« Dès lors que vous restez proche du peuple et que vous reconnaissez que le pouvoir lui appartient, il vous le confie », a déclaré Skerrit. « Si vous êtes accessible et visible, il vous accorde sa confiance. Et c’est ce qui s’est produit : le gouvernement l’a récompensé en lui accordant un nouveau mandat. »
Le dirigeant dominicain a souligné la longue carrière politique de Pierre, député depuis 1997, et a établi un parallèle avec le vétéran de la politique Stephenson King, qui siège au Parlement depuis la fin des années 1980 en pratiquant une politique axée sur le peuple.
Skerrit a souligné que la longévité politique ne se résume pas au nombre d’années passées au pouvoir, mais repose sur le maintien de liens authentiques avec les citoyens.
« Ce n’est pas ce que vous donnez aux gens ni ce que vous leur dites qui compte, mais ce qu’ils ressentent », a-t-il fait remarquer. « Si les gens sentent que vous vous souciez d’eux, que vous comprenez leurs rêves et leurs difficultés, et que vous êtes prêt à les écouter et à les aider, alors ils vous le rendront bien. C’est aussi simple que cela. »
La victoire de Pierre, a conclu Skerrit, témoigne du pouvoir durable d’un leadership empathique et du principe selon lequel les gouvernements prospèrent lorsqu’ils restent ancrés dans la vie des personnes qu’ils servent.