PRIMO —
Le vaccin n’empêche pas la contamination ; il empêche de mourir à coup sûr
Le vaccin n’empêche pas la vaccination : Le vaccin contre la rage n’empêche pas la morsure par le chien ; le vaccin contre le tétanos n’empêche pas de se blesser avec un clou rouillé. Le vaccin empêche des conséquences dramatiques de la morsure ou de la blessure.
Les victimes du COVID sont dans une très large proportion des NON_VACCINÉS
SECUNDO_
Le vaccin ne serait pas compatible avec notre culture dont nous avons été dépossédés.
L’Afrique noire, d’où procède notre culture méprisée demande le vaccin ; l’Afrique noire s’est réjouie du nombre de vies sauvées lors de l’épidémie EBOLA par l’usage de traitements qui n’avaient pas été éprouvés sur ces centaines de millions de personnes comme c’est le cas des différents vaccins COVID.
Irons nous dissuader les africains de se faire vacciner ?
L’on nous impose un traitement alors que l’on a dissimulé l’ampleur des ravages du chlordécone.
Il est établi que le chlordécone provoque des cancers de la prostate en masse aux Antilles. Cependant la comparaison doit être relativisée : le cancer de la prostate qui frappe les populations antillaises ne tue pas autant de personnes par jour ; il n’est pas contagieux ; et parfois il peut même être soigné.
CONCLUSION
Le conseil constitutionnel a validé la liberté de ne pas se vacciner. Certes mais la liberté de celui qui ne se vaccine pas trouve sa limite dans le droit de l’Autre, le droit de ne pas être contaminé. Refuser le vaccin, c’est conduire à une société coupée en deux. Aussi, en l’état de la médecine, ne pas se faire vacciner revient à jouer à la roulette russe : c’est s’exposer à l’épidémie, le plus souvent mortelle faute de vaccin.
Et lorsque le vaccin contre la dengue — en cours d’expérimentation — sera mis sur le marché, le refuserez – vous ?