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    Home » Les grandes entreprises britanniques tentent de se racheter de leur passé esclavagiste.
    Actualité

    Les grandes entreprises britanniques tentent de se racheter de leur passé esclavagiste.

    juin 21, 2020Aucun commentaire
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    Publié le 19/06/2020 –

    Alors que le Royaume-Uni affronte les fantômes de son histoire, de grandes entreprises font la lumière sur leur recours à l’esclavage jusqu’à son abolition en 1833. En réparation, plusieurs d’entre elles ont annoncé vouloir financer des programmes d’aides aux minorités. 

    Le passé esclavagiste du Royaume-Uni resurgit brutalement. Le quotidien conservateur The Daily Telegraph rapporte que certaines des plus grandes entreprises du pays vont mettre la main au porte-monnaie, après que leurs liens avec l’esclavage ont refait surface.À LIRE AUSSIMonument. À Londres, ce mémorial de l’esclavage qui peine à voir le jour

    La société Greene King, qui produit de la bière et gère des pubs et restaurants, et la compagnie d’assurances Lloyd’s of London ont toutes les deux annoncé vouloir financer des associations caritatives ainsi que des organisations de soutien aux minorités. “Il est inexcusable que l’un de nos fondateurs ait tiré profit de l’esclavage et se soit prononcé contre son abolition dans les années 1800”, a notamment déclaré le directeur général de Greene King, Nick Mackenzie.nullabout:blankhttps://acdn.adnxs.com/dmp/async_usersync.html

    Pour la première fois, les grandes entreprises sont touchées par cette controverse sur l’implication passée du Royaume-Uni dans l’esclavage, controverse qui a donné lieu à des déboulonnages de statues et qui oblige maintenant ces entreprises à faire un geste.”

    Ces firmes devraient par ailleurs adopter une politique interne plus scrupuleuse en matière de diversité et reconnaître formellement avoir pris une part active dans la traite. Jusqu’ici, les sites Internet des grandes compagnies sont le plus souvent restés vierges de toute mention de l’esclavage.

    Les propriétaires d’esclaves dédommagés

    Un projet de l’University College de Londres datant de 2009 a permis d’établir les liens avec l’esclavage pour plus de 47 000 sujets de la Couronne. De nombreux fondateurs de grandes entreprises étaient ainsi impliqués directement ou indirectement dans la traite négrière, ou même propriétaires d’esclaves, notamment aux Caraïbes.

    Ils avaient été dédommagés financièrement au moment de son abolition en 1833, et toutes les sommes versées sont restées consignées dans des registres. Le Daily Telegraph explique par exemple que “Greene a touché l’équivalent de près de 500 000 livres actuelles [environ 553 000 euros] quand elle a renoncé à ses droits sur trois plantations aux Antilles”.

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