Arlette Pujar nous fait revivre à travers son roman une véritable institution les boutiques qui étaient le lieu d’approvisionnement des familles en denrées diverses lorsque la plupart des martiniquais de condition modeste ne possédait pas de réfrigérateur. La boutique était le lieu ou l’on faisait crédit avec le « carnet ». Combien d’entre nous sont allés à la « Boutique » du coin pour demander à la tenancière. :

Manman a dit d’envoyer : an fey-bè, an liv lanmori, a, an tjilo pen ek an rotji wonm.

A travers la Boutique de Manzel Yvonne c’est tout un pan de notre patrimoine qui nous est rappelé à travers ce « Tototo, vini vann ! »

Le Foyer rural de Morne Acajou au François nous convie donc à cette rencontre avec l’auteur où vous pourrez faire l’acquisition de l’ouvrage.

Jid

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