Selon le syndicat UGTM SANTÉ, dont le secrétaire général est M. Serge Aribo, la demande transmise à la Direction le 19 novembre n’aurait pas reçue à la date du 21/11/2014 de réponse.
Le syndicat explique, par exemple, qu’un patient aurait été transféré vers l’Hôpital Pierre Zobda-Quitman, parce que “Il n’y aurait plus de matériel pour réaliser quelques points de suture”. Il affirme aussi qu’il manquerait 14 millions d’euros “pour terminer l’année”…
Si on connaît, d’une façon générale, la situation désastreuse des hôpitaux en Martinique, on ignore le plus souvent comment se gèrent et se ventilent ses déficits importants.
D’autrepart, étant données la multiplicité des points de friction et de contestation dans ce secteur, aucun organe de presse, même ceux aux budgets assumés par l’État, n’est en mesure de déléguer pour chaque contestation un journaliste qui muni de son objectivité pourrait informer “objectivement” et cerner le vrai du faux.
Le mieux serait que lorsque de tels conflits surgissent, les dirigeants syndicaux et les chefs d’établissements informent l’opinion en donnant leur version, comme, par exemple cela se pratique de plus en plus régulièrement lors des conflits privés (Cf la récente grève du Port de FDF)
Est-ce vraiment impossible ?

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