L’ancien chef de l’État, déjà condamné à de la prison ferme dans l’affaire dite “des écoutes” assure que le droit ne lui est pas appliqué comme à un justiciable lambda.

Le HuffPost avec AFP
PASCAL ROSSIGNOL / REUTERS
Nicolas Sarkozy, ici à son arrivée au tribunal au mois de juin, a été condamné (avant de faire appel) pour l’affaire Bygmalion.

JUSTICE – Nicolas Sarkozy, condamné ce jeudi 30 septembre à un an de prison ferme pour le financement illégal de sa campagne présidentielle perdue de 2012 dans le dossier Bygmalion, a promis d’aller “jusqu’au bout” et dénoncé une “injustice”, dans un message sur les réseaux sociaux.

“Je demande simplement que le droit soit appliqué pour moi comme pour n’importe quel autre justiciable”, or “celui-ci a été une nouvelle fois bafoué”, a affirmé l’ancien chef de l’État.

“C’est la certitude de la justesse de ce combat qui me donne l’énergie qui permet de surmonter les épreuves et de résister aux vaines tentatives d’humiliation”, a-t-il ajouté, en rappelant qu’il avait fait appel de sa condamnation.

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