Enjeux d’autonomie énergétique et alimentaire, changement climatique, aménagement du territoire, financement de la transition écologique…

Quelles perspectives pour les Antilles-Guyane en 2050 ? 

L’ADEME et ses partenaires territoriaux (en Martinique la Collectivité Territoriale de Martinique, EDF et le SMEM, en Guadeloupe la Région Guadeloupe, en Guyane la CTG) ont organisé deux jours d’échanges de co-construction, mardi 18 et mercredi 19 octobre. L’idée : se projeter ensemble en 2050 sur nos territoires et se questionner collectivement sur les enjeux d’autonomie énergétique et alimentaire, changement climatique, aménagement du territoire, financement de la transition écologique

L’événement s’est inscrit dans un contexte de révision des planifications réglementaires territoriales : la Planification Pluriannuelle de l’Énergie sur nos trois territoires, en Martinique la finalisation d’une Stratégie Territoriale d’Économie Circulaire, ainsi que la révision du Schéma d’Aménagement Régionale. Son objectif était d’engager une dynamique sur nos territoires, de réunir en un même temps et un même endroit des représentants de toutes les sphères afin de leur permettre d’échanger sur une vision à long terme indispensable à la transition écologique, pouvant notamment contribuer à ces travaux réglementaires. Pour ce faire, nous avons proposé aux participants de tester les outils de la prospective à travers un parcours sur deux jours.

Le bilan

Avec 144 contributeurs le 1er jour et 99 le 2nd, l’événement a atteint sa pleine jauge. Le public était varié : 18 % des participants venaient du monde associatif, 34 % d’entreprises, 17 % de collectivités et 28 % de services déconcentrés de l’État. Parmi les nouveaux interlocuteurs, des personnes du monde de l’emploi et de l’éducation, du milieu de la mer, ou de nouvelles entreprises.

Le taux de satisfaction était excellent, avec 62 % répondants à l’enquête très satisfaits et le reste étant satisfaits. Nous avons tenté d’être exemplaires tant que possible, en demandant des menus locaux et de saison, avec une vaisselle en dur uniquement et en limitant les goodies. Cependant les transports, certains intervenants venant de l’hexagone en avion, constituent 95 % de notre empreinte carbone.


Pour voir le bilan de ces deux journées cliquez-ici


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