L’opposition à la réforme des retraites a connu une nouvelle mobilisation conséquente dans les rues du centre-ville, ce mardi 31 janvier.

Douze jours après la mobilisation du 19 janvier, le nombre de participant.es a été sensiblement le même ce mardi : 2800 personnes selon la police, un millier de plus selon plusieurs organisations syndicales (la vérité factuelle se trouvant, comme souvent, entre ces deux affirmations). Un cortège qui rassembla des visages multi-générationels et des participant.e.s réuni.e.s, ou pas, sous les bannières des organisations syndicales présentes pour ce nouveau rendez-vous de mobilisation : citons pêle-mêle et de façon non exhaustive la CGTM, la CSTM, la CDMT, la CFDT, FO, le SE-UNSA, le SNU-IPP, le SNES-FSU, etc. Une foule qui marcha au rythme de chansons et slogans – aux mots parfois épicés – à l’endroit d’Emmanuel Macron et de ladite réforme ; et un énergique cortège dans lequel nous avons également vu des associations comme Lyannaj pou dépoliyé Matinik ainsi que de très rares hommes et femmes politiques tel.le.s que Marcellin Nadeau (le parti Péyi-A était représenté par quelques uns de ses membres) et Béatrice Bellay. Entre autres réalités du péyi, la conjonction entre le coût élevé de la vie et le montant général moindre des pensions de retraite fera-t-elle croître la mobilisation sous nos cieux ? En tout cas et au moment de la rédaction de ces lignes, des organisations syndicales hexagonales ont lancé de nouveaux appels à « descendre dans la rue », les 7 et 11 février prochains. A suivre, forcément.

Mike Irasque

L’opposition à la réforme des retraites a connu une nouvelle mobilisation conséquente dans les rues du centre-ville, ce mardi 31 janvier.

Douze jours après la mobilisation du 19 janvier, le nombre de participant.es a été sensiblement le même ce mardi : 2800 personnes selon la police, un millier de plus selon plusieurs organisations syndicales (la vérité factuelle se trouvant, comme souvent, entre ces deux affirmations). Un cortège qui rassembla des visages multi-générationels et des participant.e.s réuni.e.s, ou pas, sous les bannières des organisations syndicales présentes pour ce nouveau rendez-vous de mobilisation : citons pêle-mêle et de façon non exhaustive la CGTM, la CSTM, la CDMT, la CFDT, FO, le SE-UNSA, le SNU-IPP, le SNES-FSU, etc. Une foule qui marcha au rythme de chansons et slogans – aux mots parfois épicés – à l’endroit d’Emmanuel Macron et de ladite réforme ; et un énergique cortège dans lequel nous avons également vu des associations comme Lyannaj pou dépoliyé Matinik ainsi que de très rares hommes et femmes politiques tel.le.s que Marcellin Nadeau (le parti Péyi-A était représenté par quelques uns de ses membres) et Béatrice Bellay. Entre autres réalités du péyi, la conjonction entre le coût élevé de la vie et le montant général moindre des pensions de retraite fera-t-elle croître la mobilisation sous nos cieux ? En tout cas et au moment de la rédaction de ces lignes, des organisations syndicales hexagonales ont lancé de nouveaux appels à « descendre dans la rue », les 7 et 11 février prochains. A suivre, forcément.

Mike Irasque

 

L’opposition à la réforme des retraites a connu une nouvelle mobilisation conséquente dans les rues du centre-ville, ce mardi 31 janvier.

Douze jours après la mobilisation du 19 janvier, le nombre de participant.es a été sensiblement le même ce mardi : 2800 personnes selon la police, un millier de plus selon plusieurs organisations syndicales (la vérité factuelle se trouvant, comme souvent, entre ces deux affirmations). Un cortège qui rassembla des visages multi-générationels et des participant.e.s réuni.e.s, ou pas, sous les bannières des organisations syndicales présentes pour ce nouveau rendez-vous de mobilisation : citons pêle-mêle et de façon non exhaustive la CGTM, la CSTM, la CDMT, la CFDT, FO, le SE-UNSA, le SNU-IPP, le SNES-FSU, etc. Une foule qui marcha au rythme de chansons et slogans – aux mots parfois épicés – à l’endroit d’Emmanuel Macron et de ladite réforme ; et un énergique cortège dans lequel nous avons également vu des associations comme Lyannaj pou dépoliyé Matinik ainsi que de très rares hommes et femmes politiques tel.le.s que Marcellin Nadeau (le parti Péyi-A était représenté par quelques uns de ses membres) et Béatrice Bellay. Entre autres réalités du péyi, la conjonction entre le coût élevé de la vie et le montant général moindre des pensions de retraite fera-t-elle croître la mobilisation sous nos cieux ? En tout cas et au moment de la rédaction de ces lignes, des organisations syndicales hexagonales ont lancé de nouveaux appels à « descendre dans la rue », les 7 et 11 février prochains. A suivre, forcément.

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Douze jours après la mobilisation du 19 janvier, le nombre de participant.es a été sensiblement le même ce mardi : 2800 personnes selon la police, un millier de plus selon plusieurs organisations syndicales (la vérité factuelle se trouvant, comme souvent, entre ces deux affirmations). Un cortège qui rassembla des visages multi-générationels et des participant.e.s réuni.e.s, ou pas, sous les bannières des organisations syndicales présentes pour ce nouveau rendez-vous de mobilisation : citons pêle-mêle et de façon non exhaustive la CGTM, la CSTM, la CDMT, la CFDT, FO, le SE-UNSA, le SNU-IPP, le SNES-FSU, etc. Une foule qui marcha au rythme de chansons et slogans – aux mots parfois épicés – à l’endroit d’Emmanuel Macron et de ladite réforme ; et un énergique cortège dans lequel nous avons également vu des associations comme Lyannaj pou dépoliyé Matinik ainsi que de très rares hommes et femmes politiques tel.le.s que Marcellin Nadeau (le parti Péyi-A était représenté par quelques uns de ses membres) et Béatrice Bellay. Entre autres réalités du péyi, la conjonction entre le coût élevé de la vie et le montant général moindre des pensions de retraite fera-t-elle croître la mobilisation sous nos cieux ? En tout cas et au moment de la rédaction de ces lignes, des organisations syndicales hexagonales ont lancé de nouveaux appels à « descendre dans la rue », les 7 et 11 février prochains. A suivre, forcément.

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Douze jours après la mobilisation du 19 janvier, le nombre de participant.es a été sensiblement le même ce mardi : 2800 personnes selon la police, un millier de plus selon plusieurs organisations syndicales (la vérité factuelle se trouvant, comme souvent, entre ces deux affirmations). Un cortège qui rassembla des visages multi-générationels et des participant.e.s réuni.e.s, ou pas, sous les bannières des organisations syndicales présentes pour ce nouveau rendez-vous de mobilisation : citons pêle-mêle et de façon non exhaustive la CGTM, la CSTM, la CDMT, la CFDT, FO, le SE-UNSA, le SNU-IPP, le SNES-FSU, etc. Une foule qui marcha au rythme de chansons et slogans – aux mots parfois épicés – à l’endroit d’Emmanuel Macron et de ladite réforme ; et un énergique cortège dans lequel nous avons également vu des associations comme Lyannaj pou dépoliyé Matinik ainsi que de très rares hommes et femmes politiques tel.le.s que Marcellin Nadeau (le parti Péyi-A était représenté par quelques uns de ses membres) et Béatrice Bellay. Entre autres réalités du péyi, la conjonction entre le coût élevé de la vie et le montant général moindre des pensions de retraite fera-t-elle croître la mobilisation sous nos cieux ? En tout cas et au moment de la rédaction de ces lignes, des organisations syndicales hexagonales ont lancé de nouveaux appels à « descendre dans la rue », les 7 et 11 février prochains. A suivre, forcément.

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L’opposition à la réforme des retraites a connu une nouvelle mobilisation conséquente dans les rues du centre-ville, ce mardi 31 janvier.

 

Douze jours après la mobilisation du 19 janvier, le nombre de participant.es a été sensiblement le même ce mardi : 2800 personnes selon la police, un millier de plus selon plusieurs organisations syndicales (la vérité factuelle se trouvant, comme souvent, entre ces deux affirmations). Un cortège qui rassembla des visages multi-générationels et des participant.e.s réuni.e.s, ou pas, sous les bannières des organisations syndicales présentes pour ce nouveau rendez-vous de mobilisation : citons pêle-mêle et de façon non exhaustive la CGTM, la CSTM, la CDMT, la CFDT, FO, le SE-UNSA, le SNU-IPP, le SNES-FSU, etc. Une foule qui marcha au rythme de chansons et slogans – aux mots parfois épicés – à l’endroit d’Emmanuel Macron et de ladite réforme ; et un énergique cortège dans lequel nous avons également vu des associations comme Lyannaj pou dépoliyé Matinik ainsi que de très rares hommes et femmes politiques tel.le.s que Marcellin Nadeau (le parti Péyi-A était représenté par quelques uns de ses membres) et Béatrice Bellay. Entre autres réalités du péyi, la conjonction entre le coût élevé de la vie et le montant général moindre des pensions de retraite fera-t-elle croître la mobilisation sous nos cieux ? En tout cas et au moment de la rédaction de ces lignes, des organisations syndicales hexagonales ont lancé de nouveaux appels à « descendre dans la rue », les 7 et 11 février prochains. A suivre, forcément.

                                                                                                                   Mike Irasque

L’opposition à la réforme des retraites a connu une nouvelle mobilisation conséquente dans les rues du centre-ville, ce mardi 31 janvier.

 

Douze jours après la mobilisation du 19 janvier, le nombre de participant.es a été sensiblement le même ce mardi : 2800 personnes selon la police, un millier de plus selon plusieurs organisations syndicales (la vérité factuelle se trouvant, comme souvent, entre ces deux affirmations). Un cortège qui rassembla des visages multi-générationels et des participant.e.s réuni.e.s, ou pas, sous les bannières des organisations syndicales présentes pour ce nouveau rendez-vous de mobilisation : citons pêle-mêle et de façon non exhaustive la CGTM, la CSTM, la CDMT, la CFDT, FO, le SE-UNSA, le SNU-IPP, le SNES-FSU, etc. Une foule qui marcha au rythme de chansons et slogans – aux mots parfois épicés – à l’endroit d’Emmanuel Macron et de ladite réforme ; et un énergique cortège dans lequel nous avons également vu des associations comme Lyannaj pou dépoliyé Matinik ainsi que de très rares hommes et femmes politiques tel.le.s que Marcellin Nadeau (le parti Péyi-A était représenté par quelques uns de ses membres) et Béatrice Bellay. Entre autres réalités du péyi, la conjonction entre le coût élevé de la vie et le montant général moindre des pensions de retraite fera-t-elle croître la mobilisation sous nos cieux ? En tout cas et au moment de la rédaction de ces lignes, des organisations syndicales hexagonales ont lancé de nouveaux appels à « descendre dans la rue », les 7 et 11 février prochains. A suivre, forcément.

                                                                                                                   Mike Irasque

L’opposition à la réforme des retraites a connu une nouvelle mobilisation conséquente dans les rues du centre-ville, ce mardi 31 janvier.

 

Douze jours après la mobilisation du 19 janvier, le nombre de participant.es a été sensiblement le même ce mardi : 2800 personnes selon la police, un millier de plus selon plusieurs organisations syndicales (la vérité factuelle se trouvant, comme souvent, entre ces deux affirmations). Un cortège qui rassembla des visages multi-générationels et des participant.e.s réuni.e.s, ou pas, sous les bannières des organisations syndicales présentes pour ce nouveau rendez-vous de mobilisation : citons pêle-mêle et de façon non exhaustive la CGTM, la CSTM, la CDMT, la CFDT, FO, le SE-UNSA, le SNU-IPP, le SNES-FSU, etc. Une foule qui marcha au rythme de chansons et slogans – aux mots parfois épicés – à l’endroit d’Emmanuel Macron et de ladite réforme ; et un énergique cortège dans lequel nous avons également vu des associations comme Lyannaj pou dépoliyé Matinik ainsi que de très rares hommes et femmes politiques tel.le.s que Marcellin Nadeau (le parti Péyi-A était représenté par quelques uns de ses membres) et Béatrice Bellay. Entre autres réalités du péyi, la conjonction entre le coût élevé de la vie et le montant général moindre des pensions de retraite fera-t-elle croître la mobilisation sous nos cieux ? En tout cas et au moment de la rédaction de ces lignes, des organisations syndicales hexagonales ont lancé de nouveaux appels à « descendre dans la rue », les 7 et 11 février prochains. A suivre, forcément.

                                                                                                                   Mike Irasque

L’opposition à la réforme des retraites a connu une nouvelle mobilisation conséquente dans les rues du centre-ville, ce mardi 31 janvier.

 

Douze jours après la mobilisation du 19 janvier, le nombre de participant.es a été sensiblement le même ce mardi : 2800 personnes selon la police, un millier de plus selon plusieurs organisations syndicales (la vérité factuelle se trouvant, comme souvent, entre ces deux affirmations). Un cortège qui rassembla des visages multi-générationels et des participant.e.s réuni.e.s, ou pas, sous les bannières des organisations syndicales présentes pour ce nouveau rendez-vous de mobilisation : citons pêle-mêle et de façon non exhaustive la CGTM, la CSTM, la CDMT, la CFDT, FO, le SE-UNSA, le SNU-IPP, le SNES-FSU, etc. Une foule qui marcha au rythme de chansons et slogans – aux mots parfois épicés – à l’endroit d’Emmanuel Macron et de ladite réforme ; et un énergique cortège dans lequel nous avons également vu des associations comme Lyannaj pou dépoliyé Matinik ainsi que de très rares hommes et femmes politiques tel.le.s que Marcellin Nadeau (le parti Péyi-A était représenté par quelques uns de ses membres) et Béatrice Bellay. Entre autres réalités du péyi, la conjonction entre le coût élevé de la vie et le montant général moindre des pensions de retraite fera-t-elle croître la mobilisation sous nos cieux ? En tout cas et au moment de la rédaction de ces lignes, des organisations syndicales hexagonales ont lancé de nouveaux appels à « descendre dans la rue », les 7 et 11 février prochains. A suivre, forcément.

                                                                                                                   Mike Irasque

 

L’opposition à la réforme des retraites a connu une nouvelle mobilisation conséquente dans les rues du centre-ville, ce mardi 31 janvier.

 

Douze jours après la mobilisation du 19 janvier, le nombre de participant.es a été sensiblement le même ce mardi : 2800 personnes selon la police, un millier de plus selon plusieurs organisations syndicales (la vérité factuelle se trouvant, comme souvent, entre ces deux affirmations). Un cortège qui rassembla des visages multi-générationels et des participant.e.s réuni.e.s, ou pas, sous les bannières des organisations syndicales présentes pour ce nouveau rendez-vous de mobilisation : citons pêle-mêle et de façon non exhaustive la CGTM, la CSTM, la CDMT, la CFDT, FO, le SE-UNSA, le SNU-IPP, le SNES-FSU, etc. Une foule qui marcha au rythme de chansons et slogans – aux mots parfois épicés – à l’endroit d’Emmanuel Macron et de ladite réforme ; et un énergique cortège dans lequel nous avons également vu des associations comme Lyannaj pou dépoliyé Matinik ainsi que de très rares hommes et femmes politiques tel.le.s que Marcellin Nadeau (le parti Péyi-A était représenté par quelques uns de ses membres) et Béatrice Bellay. Entre autres réalités du péyi, la conjonction entre le coût élevé de la vie et le montant général moindre des pensions de retraite fera-t-elle croître la mobilisation sous nos cieux ? En tout cas et au moment de la rédaction de ces lignes, des organisations syndicales hexagonales ont lancé de nouveaux appels à « descendre dans la rue », les 7 et 11 février prochains. A suivre, forcément.

                                                                                                                   Mike Irasque

 

 L’opposition à la réforme des retraites a connu une nouvelle mobilisation conséquente dans les rues du centre-ville, ce mardi 31 janvier.

 

Douze jours après la mobilisation du 19 janvier, le nombre de participant.es a été sensiblement le même ce mardi : 2800 personnes selon la police, un millier de plus selon plusieurs organisations syndicales (la vérité factuelle se trouvant, comme souvent, entre ces deux affirmations). Un cortège qui rassembla des visages multi-générationels et des participant.e.s réuni.e.s, ou pas, sous les bannières des organisations syndicales présentes pour ce nouveau rendez-vous de mobilisation : citons pêle-mêle et de façon non exhaustive la CGTM, la CSTM, la CDMT, la CFDT, FO, le SE-UNSA, le SNU-IPP, le SNES-FSU, etc. Une foule qui marcha au rythme de chansons et slogans – aux mots parfois épicés – à l’endroit d’Emmanuel Macron et de ladite réforme ; et un énergique cortège dans lequel nous avons également vu des associations comme Lyannaj pou dépoliyé Matinik ainsi que de très rares hommes et femmes politiques tel.le.s que Marcellin Nadeau (le parti Péyi-A était représenté par quelques uns de ses membres) et Béatrice Bellay. Entre autres réalités du péyi, la conjonction entre le coût élevé de la vie et le montant général moindre des pensions de retraite fera-t-elle croître la mobilisation sous nos cieux ? En tout cas et au moment de la rédaction de ces lignes, des organisations syndicales hexagonales ont lancé de nouveaux appels à « descendre dans la rue », les 7 et 11 février prochains. A suivre, forcément.

                                                                                                                   Mike Irasque

 

 

L’opposition à la réforme des retraites a connu une nouvelle mobilisation conséquente dans les rues du centre-ville, ce mardi 31 janvier.

 

Douze jours après la mobilisation du 19 janvier, le nombre de participant.es a été sensiblement le même ce mardi : 2800 personnes selon la police, un millier de plus selon plusieurs organisations syndicales (la vérité factuelle se trouvant, comme souvent, entre ces deux affirmations). Un cortège qui rassembla des visages multi-générationels et des participant.e.s réuni.e.s, ou pas, sous les bannières des organisations syndicales présentes pour ce nouveau rendez-vous de mobilisation : citons pêle-mêle et de façon non exhaustive la CGTM, la CSTM, la CDMT, la CFDT, FO, le SE-UNSA, le SNU-IPP, le SNES-FSU, etc. Une foule qui marcha au rythme de chansons et slogans – aux mots parfois épicés – à l’endroit d’Emmanuel Macron et de ladite réforme ; et un énergique cortège dans lequel nous avons également vu des associations comme Lyannaj pou dépoliyé Matinik ainsi que de très rares hommes et femmes politiques tel.le.s que Marcellin Nadeau (le parti Péyi-A était représenté par quelques uns de ses membres) et Béatrice Bellay. Entre autres réalités du péyi, la conjonction entre le coût élevé de la vie et le montant général moindre des pensions de retraite fera-t-elle croître la mobilisation sous nos cieux ? En tout cas et au moment de la rédaction de ces lignes, des organisations syndicales hexagonales ont lancé de nouveaux appels à « descendre dans la rue », les 7 et 11 février prochains. A suivre, forcément.

                                                                                                                   Mike Irasque

 

 

L’opposition à la réforme des retraites a connu une nouvelle mobilisation conséquente dans les rues du centre-ville, ce mardi 31 janvier.

 

Douze jours après la mobilisation du 19 janvier, le nombre de participant.es a été sensiblement le même ce mardi : 2800 personnes selon la police, un millier de plus selon plusieurs organisations syndicales (la vérité factuelle se trouvant, comme souvent, entre ces deux affirmations). Un cortège qui rassembla des visages multi-générationels et des participant.e.s réuni.e.s, ou pas, sous les bannières des organisations syndicales présentes pour ce nouveau rendez-vous de mobilisation : citons pêle-mêle et de façon non exhaustive la CGTM, la CSTM, la CDMT, la CFDT, FO, le SE-UNSA, le SNU-IPP, le SNES-FSU, etc. Une foule qui marcha au rythme de chansons et slogans – aux mots parfois épicés – à l’endroit d’Emmanuel Macron et de ladite réforme ; et un énergique cortège dans lequel nous avons également vu des associations comme Lyannaj pou dépoliyé Matinik ainsi que de très rares hommes et femmes politiques tel.le.s que Marcellin Nadeau (le parti Péyi-A était représenté par quelques uns de ses membres) et Béatrice Bellay. Entre autres réalités du péyi, la conjonction entre le coût élevé de la vie et le montant général moindre des pensions de retraite fera-t-elle croître la mobilisation sous nos cieux ? En tout cas et au moment de la rédaction de ces lignes, des organisations syndicales hexagonales ont lancé de nouveaux appels à « descendre dans la rue », les 7 et 11 février prochains. A suivre, forcément.

                                                                                                                   Mike Irasque

Réforme des retraites : nouvelle mobilisation conséquente à Fort-de-France

 

L’opposition à la réforme des retraites a connu une nouvelle mobilisation conséquente dans les rues du centre-ville, ce mardi 31 janvier.

 

Douze jours après la mobilisation du 19 janvier, le nombre de participant.es a été sensiblement le même ce mardi : 2800 personnes selon la police, un millier de plus selon plusieurs organisations syndicales (la vérité factuelle se trouvant, comme souvent, entre ces deux affirmations). Un cortège qui rassembla des visages multi-générationels et des participant.e.s réuni.e.s, ou pas, sous les bannières des organisations syndicales présentes pour ce nouveau rendez-vous de mobilisation : citons pêle-mêle et de façon non exhaustive la CGTM, la CSTM, la CDMT, la CFDT, FO, le SE-UNSA, le SNU-IPP, le SNES-FSU, etc. Une foule qui marcha au rythme de chansons et slogans – aux mots parfois épicés – à l’endroit d’Emmanuel Macron et de ladite réforme ; et un énergique cortège dans lequel nous avons également vu des associations comme Lyannaj pou dépoliyé Matinik ainsi que de très rares hommes et femmes politiques tel.le.s que Marcellin Nadeau (le parti Péyi-A était représenté par quelques uns de ses membres) et Béatrice Bellay. Entre autres réalités du péyi, la conjonction entre le coût élevé de la vie et le montant général moindre des pensions de retraite fera-t-elle croître la mobilisation sous nos cieux ? En tout cas et au moment de la rédaction de ces lignes, des organisations syndicales hexagonales ont lancé de nouveaux appels à « descendre dans la rue », les 7 et 11 février prochains. A suivre, forcément.

                                                                                                                   Mike Irasque

Réforme des retraites : nouvelle mobilisation conséquente à Fort-de-France

 

L’opposition à la réforme des retraites a connu une nouvelle mobilisation conséquente dans les rues du centre-ville, ce mardi 31 janvier.

 

Douze jours après la mobilisation du 19 janvier, le nombre de participant.es a été sensiblement le même ce mardi : 2800 personnes selon la police, un millier de plus selon plusieurs organisations syndicales (la vérité factuelle se trouvant, comme souvent, entre ces deux affirmations). Un cortège qui rassembla des visages multi-générationels et des participant.e.s réuni.e.s, ou pas, sous les bannières des organisations syndicales présentes pour ce nouveau rendez-vous de mobilisation : citons pêle-mêle et de façon non exhaustive la CGTM, la CSTM, la CDMT, la CFDT, FO, le SE-UNSA, le SNU-IPP, le SNES-FSU, etc. Une foule qui marcha au rythme de chansons et slogans – aux mots parfois épicés – à l’endroit d’Emmanuel Macron et de ladite réforme ; et un énergique cortège dans lequel nous avons également vu des associations comme Lyannaj pou dépoliyé Matinik ainsi que de très rares hommes et femmes politiques tel.le.s que Marcellin Nadeau (le parti Péyi-A était représenté par quelques uns de ses membres) et Béatrice Bellay. Entre autres réalités du péyi, la conjonction entre le coût élevé de la vie et le montant général moindre des pensions de retraite fera-t-elle croître la mobilisation sous nos cieux ? En tout cas et au moment de la rédaction de ces lignes, des organisations syndicales hexagonales ont lancé de nouveaux appels à « descendre dans la rue », les 7 et 11 février prochains. A suivre, forcément.

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Réforme des retraites : nouvelle mobilisation conséquente à Fort-de-France

 

L’opposition à la réforme des retraites a connu une nouvelle mobilisation conséquente dans les rues du centre-ville, ce mardi 31 janvier.

 

Douze jours après la mobilisation du 19 janvier, le nombre de participant.es a été sensiblement le même ce mardi : 2800 personnes selon la police, un millier de plus selon plusieurs organisations syndicales (la vérité factuelle se trouvant, comme souvent, entre ces deux affirmations). Un cortège qui rassembla des visages multi-générationels et des participant.e.s réuni.e.s, ou pas, sous les bannières des organisations syndicales présentes pour ce nouveau rendez-vous de mobilisation : citons pêle-mêle et de façon non exhaustive la CGTM, la CSTM, la CDMT, la CFDT, FO, le SE-UNSA, le SNU-IPP, le SNES-FSU, etc. Une foule qui marcha au rythme de chansons et slogans – aux mots parfois épicés – à l’endroit d’Emmanuel Macron et de ladite réforme ; et un énergique cortège dans lequel nous avons également vu des associations comme Lyannaj pou dépoliyé Matinik ainsi que de très rares hommes et femmes politiques tel.le.s que Marcellin Nadeau (le parti Péyi-A était représenté par quelques uns de ses membres) et Béatrice Bellay. Entre autres réalités du péyi, la conjonction entre le coût élevé de la vie et le montant général moindre des pensions de retraite fera-t-elle croître la mobilisation sous nos cieux ? En tout cas et au moment de la rédaction de ces lignes, des organisations syndicales hexagonales ont lancé de nouveaux appels à « descendre dans la rue », les 7 et 11 février prochains. A suivre, forcément.

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