Par Jean MullerAvec l’affaire Osaka, le sujet de la qualité des questions posées en conférence de presse est devenu presque un passage obligé pour les champions qui se présentent en salle de presse. A 41 ans, Venus Williams a vécu une carrière plein de rebondissements, de titres, et de défaites. Mais elle a toujours été nickel dans cet exercice, il faut dire qu’elle se met dans un « mood » bien précis : « Pour moi, la manière dont je gère cela, c’est que je sais que tous les gens qui me posent des questions ne peuvent pas jouer comme je joue. Quoi que vous écriviez ou que vous disiez, vous ne pouvez pas jouer contre moi. Mais chacun le gère différemment et à sa manière » a expliqué Vénus, c’est effectivement une façon de voir les choses. Mais cela peut être faux surtout quand par exemple c’est Filip Dewulf, journaliste belge mais ex‐demi finaliste à Roland Garros qui prend le micro.

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