Le Mouvement international pour les réparations (MIR) et les militants écologistes de l’Assaupamar attaquent en justice le gouvernement et l’administration. Ils dénoncent l’imprévoyance des pouvoirs publics face à la pandémie. Lés moyens juridiques de la plainte: pour mise en danger de la vie d’autrui, non-assistance à personne en danger et même homicide involontaire. Le MIR a déposé une plainte devant la Cour de justice de la République (CJR), à l’encontre d’ Agnès Buzyn et Edouard Philippe, Emmanuel Macron.
Quant à l’Assaupamar, l’Association pour la sauvegarde du patrimoine martiniquais, elle s’attaque au directeur général de la Santé et à l’échelon régional, au DRS. Courant février, en phase 1 de l’épidémie, avions et paquebots ont continué à faire affluer des vacanciers. La plainte du MIR devant la CJR, insiste sur «Des cas de contamination, émanant pour la plupart d’entre eux de croisiéristes, apparus dès le début du mois de mars.»
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