Docteur Josiane JOS PELAGE

Pédiatre

Centre hospitalier du Saint Esprit

97270 Saint Esprit

Monsieur le Docteur Jérôme VIGUIER

Directeur de l’Agence Régionale de santé

                                   Le 29 octobre 2021

Monsieur le Directeur,

J’ai pris connaissance de votre courrier du 6 octobre 2021 m’invitant à régulariser ma situation vaccinale contre le COVID 19, eu égard à la loi du 5 aout 2021. Ma réponse est la suivante :

Je n’ai absolument pas l’intention de me faire vacciner contre le Covid 19 qui est une maladie infectieuse passagère dont le taux de guérison spontanée sans séquelles avoisine les 80% et la mortalité inférieure à 5%. On est loin de la situation de la variole, de la tuberculose, de la fièvre typhoïde ou de l’hépatite B qui sont des maladies que j’ai connues il y a quelques années et qui de fait requéraient une prévention efficace. Aucune urgence sanitaire ne justifie une telle législation répressive. Un cancer sur deux tue et pourtant la lutte contre ce fléau est encore timide.

Je ne peux donner mon consentement « éclairé » à des produits pour la plupart mis sur le marché à titre « conditionnel » pour satisfaire une obligation. Il   y a là une entrave grave à l’objection de conscience qui pose de sérieux problèmes éthiques. Le   légal est-il moral ?  En tant que citoyenne, médecin, je suis interpellée par cette atteinte grave à l’éthique et la conscience individuelle qui ont toujours été préservées au moins pour l’exercice médical.

J’ai analysé avec la plus grande attention la composition des vaccins mis actuellement sur le marché français et ma conviction intime est que le rapport bénéfice /risque individuel et collectif penche du côté des risques.

Les risques à court terme exposés par exemple dans le dictionnaire Vidal des médicaments, concernant le vaccin Pfizer à ARN Messager COMMINARTY sont inacceptables, même s’ils sont rarissimes. Les   myocardites, les péricardites, sont bien souvent bénignes mais elles peuvent conduire à une insuffisance cardiaque chronique voire un décès prématuré inopiné. Les   hémorragies utérines dénommées « irrégularités menstruelles » d’ordre immunologique et non hormonale peuvent perturber l’ensemble du système immunitaire y compris chez la femme ménopausée. L’adjuvant   polyéthylène glycol peut causer des morts immédiates, subites par choc anaphylactique.

Par ailleurs, la composition du vaccin COMINARTY que j’ai longuement analysée, montre qu’il s’agit non pas d’un ARN messager naturel, copie fidèle de l’ARN natif du virus, comme dans tous les autres vaccins (virus atténué, gêne recombinant, ADN recombinant du vaccin de la grippe ou de l’hépatite B) mais d’un pur produit de synthèse « modifié formulé » introduisant des « mutations » dont la pharmacocinétique non produite est mystérieuse. Quelle est par exemple la durée de vie de l’ARN messager synthétique ? La durée de vie de 24 heures annoncée concerne l’ARN messager naturel. Quel est le devenir dans l’organisme des nanotubes de carbone qui enrobent l’ARN ? Selon mes connaissances la voie métabolique d’élimination des nanoparticules stockées dans les cellules nerveuses est à ce jour inconnue (nanotubes de titane, de fer, d’aluminium). Ces nanomatériaux   peuvent facilement du fait de leur taille nanométrique pénétrer la paroi des vaisseaux, les cellules sanguines, le cœur et ne restent pas cantonnées au seul muscle deltoïde. Aucun autre vaccin que le Pfizer n’est enrobé de nanoparticules, ce qui ne permet aucune comparaison. Or actuellement même après une vaccination par le JANSEN le rappel doit être effectué avec le Pfizer.

Après donc lecture de cette documentation et une analyse rigoureuse de ce produit vaccinal, comme les autres d’ailleurs à ARN messager ou non, les risques à court moyen et long terme me sont apparus   inacceptables et je ne pourrai pas donner mon consentement éclairé.

Quel bénéfice peut – on attendre de cette vaccination de masse ?

Il a été question de la prévention des formes graves. Pour le moment je n’en ai aucune preuve. Plusieurs personnes vaccinées ont été contaminées, ont diffusé le virus autour d’elles et ont bénéficié d’oxygénothérapie à domicile voire de surveillance hospitalière.

Ce n’est pas parce que 94% des personnes admises en réanimation pour COVID n’étaient pas vaccinées que la cause de leur état vient de la non vaccination !! Nous le savons tous » Une relation statistique épidémiologique n’est pas une relation causale. Il s’agit d’une fausse cause prise pour une vraie cause « PRO CAUSA NON CAUSA », c’est du moins ce que nous avons appris en statistique médicale.

De surplus, nous avons un exemple criant avec la crise sanitaire du chlordécone, où chacun a pu apprécier les contorsions explicatives sur le lien de causalité entre cancer de la prostate et chlordécone. « Il ne saurait répète- t -on, avoir de lien de causalité directe tiré d’une relation statistique ou d’une étude épidémiologique ». Il faut chercher tous les facteurs confondants. Etablir une relation toxicologique et une preuve mécanistique. Au total après 10 années de discussion de preuve de l’action épigénétique perturbateur endocrinien, toxicologique dose -réponse, l’INSERM nous dit en juin 2021 que le lien entre cancer de la prostate et chlordécone est « vraisemblable, » Or s’agissant du COVID, en moins d’une année la relation causale est établie ! Qui a recherché des facteurs confondants ?

94% des personnes en réanimation étaient atteintes d’obésité morbide. L’obésité morbide constituant un état d’inflammation chronique avec libération de cytokines et interleukine par stress oxydatif. 50%   avaient ou un diabète ou une hypertension artérielle.

Le syndrome métabolique est un premier facteur confondant et le risque pour ces personnes se réitérera lors de n’importe quel épisode inflammatoire aigu.

Pendant toute la période critique des mois de juillet et aout 2021 nous avons eu deux fois par semaine une pollution par la brume de sable qui comme vous le savez fragilise l’arbre respiratoire. Sans compter la pollution chronique par les nanoparticules aériennes dont on connait l’action sur les alvéoles pulmonaires. Et l’hydrogène sulfuré inhalé de façon subaigüe par les habitants de la côte atlantique Deuxième facteur confondant l’environnement non pris en compte

Il ne faut pas non plus minimiser l’imprégnation de 92% de la population par le chlordécone, présente vraisemblablement chez plus de 90% des hospitalisés qui peut générer troubles immunitaires obésité diabète, hypertension. Troisième facteur confondant non pris en compte.

De plus, au niveau physiopathologique et toxicologique, on a du mal à imaginer comment on peut en quelques mois affirmer qu’une « vaccination peut empêcher une forme grave ». Une  observation du même type a été faite avec   le BCG   chez l’enfant, dont on a compris qu’il empêchait non pas l’infection tuberculeuse mais la méningite tuberculeuse mais il a fallu des dizaines d’années pour parvenir à cette conclusion en observant l’immunité cellulaire induite.

Il reste donc le doute et l’incertitude qui ont accompagné d’ailleurs l’exercice médical pendant des millénaires et que l’on rejette aujourd’hui d’un revers de main. L’affirmation facile ,l’absence de prudence  et de doute des décideurs, pourtant bien jeunes, sans recul médical, est une  de mes  préoccupations que j’espère vous partagerez , qui  risque d’avoir  des conséquences gravissimes pour la médecine de demain. Les médecins ne pourront plus dire « Je ne sais pas » Et ils vont se contredire. Or il est évident qu’aujourd’hui nous ne savons pas grand-chose de ce Coronavirus 19 qui n’a cessé de nous surprendre par ses mutations et ses variants. Quand en 1992 l’obligation vaccinale a été légalisée chez les collégiens, quelques parents ont signalé des cas de sclérose en plaque apparus au décours de la vaccination. Le   Ministre de   la santé de l’époque Bernard KOUCHNER   a levé l’obligation vaccinale en précisant que le doute et l’incertitude devraient amener à être vigilant. A ce jour le doute sur le vaccin de l’hépatite B n’est toujours pas levé puisque sur la notice des vaccins ce risque figure encore.

En conclusion je vous dirai que dans le doute sur l’innocuité de ces vaccins, compte tenu du peu de bénéfice attendu, et surtout de leur durée éphémère, le rapport bénéfice /risque de la vaccination pour moi comme à mon sens pour la société martiniquaise que j’ai toujours servie, penche nettement du côté des risques et que ma décision est prise de ne pas me faire vacciner QUOI QU’ IL EN COUTE.

Le bénéfice /risque pour la société, affiché comme un acte de la solidarité, est lui aussi trop aléatoire à mon avis pour qu’il prenne le dessus sur le mien. On voit bien l’épidémie re -flamber dans les pays bien vaccinés. La vaccination ne saurait être la solution devant une pandémie quand le réservoir de virus n’est pas qu’humain. Par contre il peut y avoir des alternatives à la vaccination à ne pas minimiser

Si je peux me permettre, car il faut bien sortir de cette crise, je vous suggérerais de négocier un long moratoire sur cette obligation vaccinale avec les autorités. Pourquoi ?

1/Beaucoup de médecins libéraux ont eu recours à des prises en charge alternatives à la vaccination lors de l’épidémie Il serait bon de faire une étude rétrospective , sans parti pris,  de leurs expériences car elles ont évité nombre d’hospitalisation et les patients martiniquais se le disent et leur en  sont gré Lors de l’épidémie de grippe H1N1 en 2009,  tous les médecins ont prescrit des antiviraux en première intention dès les premiers signes grippaux, ont complémenté leurs patients en vitamine .Cela est inscrit dans  la mémoire collective .

2/Il faut à mon sens passer un temps suffisant à comprendre et prendre en compte le vécu douloureux de la population lors de l’épidémie non pas tant du fait du nombre de morts, ce que l’on peut avoir lors des catastrophes naturelles, mais du sentiment de trahison par les autorités sanitaires qui « ont laissé mourir la population » en leur donnant des consignes inadaptées « Mot d’ordre   Paracétamol 8j et SAMU si détresse respiratoire » est vécu comme un abandon thérapeutique. Lors de cette épidémie les patients n’ont pas été invités à consulter leur médecin traitant pour évaluer leur état de santé et faire ou non des prescriptions de première intention et de suivi pendant la première semaine en lieu et place du paracétamol qui est connu pour réduire le glutathion indispensable à l’immunité cellulaire.

Il faut rétablir un dialogue de confiance avec la population en urgence

Il ne faut pas passer en force à mon avis mais panser cette douleur le temps nécessaire.

3/ Pendant cette épidémie les familles se sont déchirées comme jamais auparavant. Le    corps médical et paramédical est divisé, éprouvé.

4/La société toute entière est dans un état de souffrance inimaginable. Il faut que l’ARS entende cette souffrance et tente d’y remédier le temps nécessaire.

Il faut rétablir en urgence une communauté médicale tournée vers le soin.

Sinon ce sera l’explosion sociale n’importe quand et n’importe comment.

5/ La méthode coercitive ne convient pas.  Priver la population de fêtes de Noel alors que les familles ont besoin de se retrouver après les deuils douloureux ou les confinements, ne contribuera pas à apaiser la souffrance. Il vaut mieux réexpliquer ce qu’est ce virus et comment se protéger comme lors de la première vague, insister sur les consignes sanitaires    et rétablir la confiance.

Ce n’est qu’après tout cela que la question de l’obligation vaccinale ou non pourra être réexaminée.

Je reste à votre disposition pour en parler et aider à sortir de cette impasse.

En attendant je vous prie d’agréer mes salutations respectueuses.

Docteur Josiane JOSPELAGE

Réponse de Serge Chalons suite au courrier du Dr JOS-PELAGE :

“Cette prise de position puissante et vivifiante, mérite d’être saluée et soutenue largement !

Que l’on soit vacciné ou non vacciné (question de choix personnel) sortons de ce clivage entretenu et programmé  par nos dirigeants dont l’impact destructeur sur notre cohésion sociale est attendu et soutenons fermement la position de madame Jos Pélage, qui avec une argumentation scientifique sans équivoque montre clairement les inepties du pouvoir qui se dit souverain et la non prise en compte évidente  de choix de santé pour notre population !

D’ailleurs cette argumentation claire et brillante dépasse le cadre de notre petite Martinique, et je l’ai diffusé autant que j’ai pu, bien au delà de nos frontières.

Il est temps que nous nous rassemblions pour soutenir la position du Dr Jos Pélage, que nous nous mobilisions pour qu’elle ne soit pas une victime de plus malgré son sens du devoir de soigner dans laquelle elle est engagée depuis toujours, et que nous fassions cause commune face à cette politique mortifère d’injonction de pass sanitaire qui est en train d’ébranler fortement le socle même de notre société !

Personnellement, je serai à ses côtés dans cette lutte pour notre santé physique et mentale et donc pour notre survie ! “

Serge

Réponse de Joé Sainte-Rose, pharmacien

 

Un courrier adressé  au Directeur de l’ARS MARTINQUE par un médecin refusant l’obligation vaccinale a été rendu public et a fait le  buzz sur les réseaux sociaux et provoqué l’émoi  et , peut etre  jeté un peu plus le doute , chez nous ,sur l’opportunité de la vaccination anti Covid

Je ne commenterai pas les raisons morales et éthiques qui ont motivé le refus de ce médecin : cela relève de sa conscience et je n’ai pas à en juger.

Pharmacien à la retraite j’ai eu le temps   , moi aussi  , de beaucoup lire  et me documenter sur les vaccins proposés,  notamment sur le vaccin  à ARN messager de PFIZER qui est le plus communément utilisé chez nous.

Aussi me permettrai-je  ,  non pas de répondre à ce courrier qui ne m’a pas été adressé , mais parce-que rendu public , de le commenter

Quatre sujets soulignés dans ce courrier ont retenu mon attention et suscité mes remarques

– La composition du vaccin

– -L’innocuité du vaccin

– L’efficacité du vaccin

– Les alternatives médicamenteuses à la vaccination

L’ARN messager de synthèse a la même composition chimique   que La molécule naturelle avec la même fragilité et la même instabilité qui exige des contraintes de conservation drastiques . Cette molécule se dégrade rapidement à température ambiante qu’elle soit synthétique ou naturelle.

Associé aux ribosomes dans le cytoplasme des cellules il permet la synthèse des protéines (protéines S) antigènes qui déclenchent le processus immunitaire .Ce processus va détruire rapidement aussi les cellules produisant la molécule S et par là même la molécule d’ARN messager.

De plus le système enzymatique intra cellulaire dégrade très rapidement les brins d’ARN MESSAGER

Pour faire pénétrer ces molécules d’ARN messager dans les cellules humaines(et c’est là que se situe la vraie et récente révolution technologique) il a fallu inventer un vecteur composé de nanoparticules LIPIDIQUES qui enrobent la molécule d’ARN messager .Ces nanoparticules  sont composées de lipides identiques à ceux qui entourent les membranes de toutes nos cellules y compris les neurones. Ces nanoparticules n’ont rien de commun avec les nanoparticules de métal qui effectivement peuvent parvenir au cerveau et y causer des dommages et entrainer des problèmes cognitifs

Pour conclure cet aspect lié à la composition du vaccin :l’ARN messager disparait rapidement et surtout ne pénètre pas le noyau de nos cellules ne peut modifier notre ADN et notre matériel génétique comme voudraient l’insinuer beaucoup de fake news. Les nano particules lipidiques sont totalement inoffensives.

—–Tous les médicaments y compris les vaccins peuvent entrainer des effets secondaires .L’innocuité absolue aurait comme corollaire l’inefficacité absolue..

l’Autorisation de Mise  sur le Marché (AMM) d’un médicament est subordonnée à la gravité des risques encourus à leur fréquence et du rapport bénéfice/risque.

L’auteur du courrier a lui-même reconnu le caractère rarissime des effets secondaires (péricardites myocardite etc..) de ce vaccin. Le polyéthylène glycol présent dans beaucoup de médicaments  a effectivement un effet allergisant mais là aussi dans des proportions qui ne pouvaient mettre en cause l’AMM

De janvier 2021 à octobre 2021  0.08%  de la population vaccinée en France  a présenté des effets secondaires à cette vaccination dont la très grande majorité  sans conséquences graves

Le risque est donc très relatif.

—-« Comme pour tout vaccin, 3 grandes phases d’études cliniques ont été nécessaires à l’évaluation du vaccin Pfizer/BioNTech par les autorités sanitaires. Les résultats de l’essai clinique de phase 3 débuté le 27 juillet 2020 ont été publiés en décembre dans le New England Journal of Medicine. Pfizer était responsable de la conception et de la conduite de l’essai, de la collecte des données, de l’analyse des données, de l’interprétation des données et de la rédaction du manuscrit. BioNTech était le sponsor de l’essai. L’essai a été mené sur 152 sites répartis dans le monde dont 130 aux Etats-Unis. Réalisée auprès de 43 548 participants âgés de 16 à 85 ans randomisés, dont 43 448 ont reçu des injections : 21 720 avec le BNT162b2 et 21 728 avec un placebo. Au total, 8 cas de Covid-19 sont apparus au moins 7 jours après la deuxième dose chez les participants ayant reçu du BNT162b2 et 162 cas parmi ceux ayant reçu un placebo”, rapporte la revue scientifique. Dix cas graves de COVID-19 ont été observés durant l’essai, neuf cas étant survenus dans le groupe placebo et un dans le groupe ayant reçu le candidat-vaccin BNT162b2. Cette étude a montré que COMIRNATY® avait un taux d’efficacité de 95% chez les participants sans infection antérieure par SARS-CoV-2 “, »

Voici  l’essentiel sur quoi se sont basées les conclusions  de la HAS de l’Académie de Médecine ,l’Académie de Pharmacie de France les experts de l’OMS ,l’Agence Européenne du Médicament la Food and Drug Administration américaine le National Institute for Health Protection britannique etc…..afin d’autoriser et de promouvoir ce vaccin.

43548 participants volontaires à un essai thérapeutique c’est énorme !!!!!! Je crois que c’est un record

Examinons les résultats après 10mois de vaccination  ,  4 vagues , 3  variants dont le delta beaucoup plus virulent que ses prédécesseurs

De fin  juillet 2021 à fin octobre 2021 près de 600 morts liés au COVID au CHU de la MARTINIQUE .Pendant la même période 20.000 décès pour toute la France ce qui équivaudrait à 105 morts chez nous.

L’Islande cette ile de 366 000 habitants vaccinée à80% a eu 7 morts pendant cette période durant laquelle elle a connu une forte recrudescence de l’épidémie.

Partout dans le monde on fait le même constat :la mortalité due au Covid diminue fortement alors que l’épidémie augmente dans les pays fort taux de vaccination.                                                            A l’inverse la létalité est importante dans les pays à faible taux de vaccination –la Russie et beaucoup de pays de l’Europe de l’est .en sont un parfait exemple

Ces chiffres et ces exemples  me paraissent suffisamment probants pour affirmer sereinement l’efficacité de ce vaccin car il ne peut s’agir là de hasard.

—— l’Hydroxychloroquine associée à l’Azthromycine ,l’Ivermectine….. ou leVirapic lorsqu’ils ont été soumis à des essais randomisés ont tous montré une totale inefficacité

. Heureusement 80% des gens infectés par le Covid font des formes bénignes analogues à une grippe ou à la dengue et dont on ne soigne que les symptômes : fièvre et céphalées avec du paracétamol .La dexaméthasone  pour les cas d’orage cytokinique ou bien les anticorps monoclonaux pour les immunodéprimés sont des progrès thérapeutiques certains pour les cas graves Deux nouveaux antiviraux le molnupiravir  et le paxlovid ouvrent des perspectives pleines d’espoir  pour les mois à venir pour le traitement des formes graves.

Je ne remet pas en cause lac compétence de l’auteure du courrier sus visé mais je m’autorise  à prendre comme références les publications de spécialistes  mondiaux en virologie et en  épidémiologie .

La controverse a toujours fait progresser la connaissance bien que je l’estime aujourd’hui excessive,,  trop passionnée  et un peu trop publique.

Mais malgré nos désaccords je veux assurer l’auteure du courrier,  comme professionnel de la Santé , de ma plus confraternelle considération

 

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