La crise sanitaire a certes rallumé les critiques sur le rôle de l’OMS, mais elle a aussi montré le coût extraordinaire de l’impréparation des États face aux risques de santé. Que faut-il pour l’OMS ? Une autorité renforcée dans les contextes d’urgence, plus d’autonomie financière, une réorganisation interne visant l’efficacité et la restauration de l’autorité de son Directeur général, une plus grande inclusion des communautés scientifiques, une participation plus active des organisations non étatiques à la gouvernance de l’agence et, enfin, une intégration de la santé mondiale dans les enjeux de la biodiversité et du climat. Olivier Nay, professeur de science politique à l’Université Paris 1-Panthéon Sorbonne et chercheur au Centre Européen de sociologie et science politique (CESSP) et membre du think tank Santé Mondiale 2030, avec lequel Terra Nova publie cette note, détaille ici chacun de ces chantiers.

Retrouvez le contenu sur le site de Terra Nova : http://tnova.fr/notes/faut-il-sauver-le-soldat-oms

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