La journée de grève de l’Education nationale, le 26 janvier, a été suivie en Martinique par différents syndicats. Les organisations syndicales FSU et FNEC FP-FO Martinique réclament l’arrêt des suppressions de postes (- 61 postes d’enseignement pour le second degré et – 5 postespour le personnel administratif)et le versement de primes aux personnels administratifs et pédagogiques qui encadrent les élèves.

Par ailleurs, les syndicats réclament “Une autre politique éducative adaptée à notre système éducatif et à nos besoins.”

Les syndicats SE-UNSA de Guadeloupe et de Martinique ont présenté leurs revendications à propos de la carte scolaire 2021, ainsi qu’un plan d’action pour alerter sur la menace qui pèse sur  les systèmes éducatifs des 2 îles.

Les conséquences de cette carte scolaire en Martinique et en Guadeloupe  

Les deux centrales considèrent que les moyens mis en place pour le premier et le second degré sont insuffisants . En Martinique, les suppressions de moyens d’enseignements continuent. En Guadeloupe, près de 47 classes doivent être supprimées.

Tant en Guadeloupe qu’en Martinique, les décisions de l’Etat conduisent à des classes surchargées et à des disparitions d’établissements.

Les syndicats considèrent que toutes les conditions ne sont pas mises en place pour faire de l’école un lieu de réussite. Il est nécessaire d’augmenter les moyens dédiés aux Réseaux d’aides spécialisés aux élèves en difficulté (RASED)

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