Caribbean Journal
On vient pour le punch au rhum. On reste pour l’effet Bolongo.
Et le bruit des vagues. Et le barman qui connaît votre nom avant même que vous ayez déballé vos affaires. Et la chasse au trésor du rhum. Et les couchers de soleil à Iggies. Et le petit coin parfait de la plage de Saint-Thomas.
Et le fait est que, d’une certaine manière, chaque personne ici – les clients comme le personnel – semble être au courant du même secret.
Le Bolongo Bay n’est pas seulement un hôtel tout compris. Tout est inclus : le sable, l’eau, l’âme de ce qu’étaient les vacances balnéaires caribéennes avant que le mot « complexe » ne devienne trop compliqué.

Vous vous enregistrez, vous marchez six mètres et vous êtes sur le sable. Pas d’ascenseur. Pas d’atrium en marbre. Pas de majordome en gants blancs.
Juste un petit hall à ciel ouvert, une chambre avec vue sur la baie et une paire de palmes de plongée qui vous attendent près de la porte.
C’est la formule parfaite pour des vacances classiques à la plage dans les Caraïbes, un concept que la famille Doumeng perfectionne depuis plus d’un demi-siècle (le 50e anniversaire a eu lieu l’année dernière).

Nous avons séjourné ici d’innombrables fois et à chaque fois, nous nous rappelons pourquoi cet endroit est si apprécié.
C’est également le seul complexe hôtelier tout compris de Saint-Thomas et l’un des rares dans l’ensemble des îles Vierges américaines.
Cet endroit est un bar à l’ambiance décontractée, dans le meilleur sens du terme : pas bohème, juste confortable. Le genre d’endroit où l’happy hour ne s’arrête jamais vraiment, où vous pourriez vous retrouver à discuter avec un barman de son lycée ou de son ancienneté (indice : probablement depuis longtemps).

Les chambres, lumineuses et au style balnéaire, sont sans chichis, mais offrent tout le nécessaire – et chacune d’entre elles est à deux pas de la mer. Depuis le balcon, vous pouvez observer les catamarans voguer dans la baie, encadrés par le balancement des palmiers et le scintillement constant du soleil de Saint-Thomas. Vous profitez d’une bande sonore si rare de nos jours : le doux ressac, les conversations à proximité et le frémissement des palmiers.
Dîner ? C’est au Iggies Oasis Pool Bar, le genre de bar à ciel ouvert qui disparaît bien trop vite dans les Caraïbes. Imaginez : mahi-mahi grillé, beignets de conque locale, un analgésique, peut-être deux. Certains soirs, il y a de la musique live. Tous les soirs, on entend des rires.
La plage n’est pas bondée. L’ambiance est décontractée. C’est authentique, ce qui, dans les Caraïbes, est peut-être le luxe le plus rare.
Et si vous avez la chance d’être là lors d’une croisière au coucher du soleil, vous vous retrouverez à flotter juste au large, à regarder le soleil se fondre dans l’horizon, un verre à la main, entouré d’étrangers qui se sentent soudain comme de vieux amis.
En venant ici, on se sent différent. On se sent mieux. On se sent à nouveau soi-même .
C’est l’effet Bolongo.
On ne l’oublie pas. On commence à planifier son prochain voyage avant même de partir.
Pour en savoir plus, rendez-vous sur Bolongo Bay . Les tarifs commencent à 405 $ dès maintenant.