Vient de paraître, disponible en librairies.

Mon intention, à travers ce livre, c’est de proposer à toute personne qui le souhaite, un accès à la réflexion philosophique. Cela consiste à rendre chacun capable de faire le meilleur usage possible de la raison, au lieu de s’en remettre à l’émotion et aux passions, ou de se contenter de suivre les opinions toutes faites. J’ai donné à ce livre un titre en créole, dans l’intention de signifier un ancrage culturel, mais il est écrit en français et il s’adresse à la pensée humaine universelle.,

La méthode que j’ai adoptée, c’est de présenter à l’attention du lecteur, l’analyse conceptuelle d’un certain nombre de notions, qui amènent d’une certaine manière, à une démarche d’exercice de l’esprit, que l’on peut sans doute comparer à tout ce qui se fait pour le corps, afin de le maintenir en forme et en santé.  Donc le livre comprend une première partie, dans laquelle j’ai rassemblé des textes, des conférences ou des émissions faites à la radio, que l’on m’a maintes fois demandé d’éditer, et donc « voilà, c’est fait, puis-je dire » ; et puis, il y a une deuxième partie, intitulée « la dialectique de la culture et de la pensée » qui propose l’approche méthodique de tout un ensemble de questions qui se posent à l’humanité aujourd’hui.

Limen limiè (faire la lumière), Edmond Mondésir, isbn : 978-2-36430-058-3, idem éditions collection Campus dirigée par Suzanne Dracius, 316 pages.

Ce sont des problématiques qui ont été posées par le cours des événements historiques, plus particulièrement avec les conquêtes coloniales et les conflits mondiaux qui ont marqué le 20ème siècle, dans le même temps où les sciences et les techniques ont progressé de manière vertigineuse. Comment penser les choses et le monde, sous l’effet de tous les obscurcissements divers qui se sont paradoxalement produits ? Nous avons cherché à savoir comment on pourrait procéder, pour essayer d’y voir un peu plus clair, à l’occasion de cette réflexion sur la dialectique de la culture et de la pensée.

A noter une très belle illustration de la première de couverture de l’ouvrage à partir d’un tableau de Ricardo Ozier-Lafontaine, plasticien.

Propos de Monsieur Edmond Mondésir, recueillis par Justin Sormain.

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