Cette initiative permettra au personnel des forces de défense de la Jamaïque, des forces de police de la Jamaïque, des forces de défense royales des Bahamas et des forces de défense du Belize de s’intégrer dans une force opérationnelle conjointe de la CARICOM.
L’initiative verra le personnel de service de la Jamaica Defence Force, de la Jamaica Constabulary Force, de la Royal Bahamas Defence Force et de la Belize Defence Force s’intégrer dans une force opérationnelle conjointe de la CARICOM.
La Jamaïque, en partenariat avec le Canada, accueillera sur l’île, du 28 mars au 26 avril, un exercice conjoint d’entraînement aux situations d’urgence.
Il s’agira d’un exercice d’entraînement conjoint dirigé par la Jamaïque avec les partenaires de la CARICOM et les Forces armées canadiennes (FAC).
L’exercice devrait permettre d’améliorer la préparation des forces de sécurité de certains pays du CARICOM en vue d’éventuelles opérations de sécurité multinationales dans la région des Caraïbes.
“Cette initiative verra le personnel des forces de défense de la Jamaïque (JDF), des forces constabulaires de la Jamaïque (JCF), des forces de défense royales des Bahamas (RBDF) et des forces de défense du Belize (BDF) s’intégrer dans un groupe de forces interarmées de la CARICOM (CJTF) afin de s’entraîner, de planifier et de mener un large éventail d’activités de sécurité basées sur des scénarios”, a déclaré la JDF dans un communiqué.
“Cette activité intégrée est le point culminant de huit mois d’activités parallèles de formation et de coordination qui ont eu lieu dans toute la région avec le soutien important des gouvernements du Canada et des États-Unis d’Amérique.
Le Canada est un partenaire important des nations des Caraïbes depuis des décennies, notamment en ce qui concerne la formation du personnel de sécurité régional, et “l’exercice TROGON SHIELD est une nouvelle démonstration de ce partenariat solide entre le Canada et les nations de la région”, a déclaré la JDF.
Hier, le Conseil permanent de l’Organisation des États américains (OEA) a déclaré qu’il demanderait aux États membres et aux observateurs permanents d’envisager de fournir “un soutien immédiat et adéquat aux forces de sécurité en Haïti afin de restaurer les conditions de paix et de stabilité, par le démantèlement des gangs et la fourniture urgente d’une “aide humanitaire massive”.
L’objectif est de soutenir le gouvernement de transition dans ce pays francophone déchiré par la guerre, qui a été proposé par le groupe de travail sur Haïti.