Gabriel Attal a annoncé lors des questions au gouvernement des mesures “extrêmement fortes” pour contrer les récentes violences entre jeunes, dans l’optique de provoquer un “sursaut” sociétal. Ces violences, comme les agressions à Montpellier, Tours et Viry-Châtillon, ont poussé le gouvernement à réagir. Le premier ministre a rejeté l’idée d’un “droit à tabasser” et a promis des actions à tous les niveaux, de la rue aux écoles en passant par les foyers. Les détails des mesures seront dévoilés dans les prochaines semaines après une collaboration entre différents ministères.
Marine Le Pen a interpellé Gabriel Attal lors de cette session parlementaire, soulignant les violences récentes comme des faits sociaux inacceptables, évoquant même “l’ensauvagement”. Attal a répondu en condamnant fermement ces actes et en affirmant qu’il n’y aurait jamais de “droit à tabasser” en France.
Les mesures envisagées par le gouvernement seront donc larges et concerneront différents secteurs, de l’éducation à la sécurité publique. Gabriel Attal n’a pas précisé de date pour l’annonce de ces mesures, mais a assuré qu’elles seraient élaborées en concertation avec les ministères concernés. L’objectif est de mettre en place des actions concrètes pour répondre efficacement à cette problématique et prévenir de futures violences entre jeunes.
Thibaut Charles