Le gouvernement kényan a décidé de suspendre son initiative visant à envoyer des forces de police en Haïti suite à la démission du Premier ministre Ariel Henry, arguant du besoin de stabilité politique pour une intervention efficace. Cette mesure intervient alors que Haïti traverse une crise complexe, caractérisée par des troubles sociaux, des problèmes alimentaires et des défis sanitaires. Les autorités américaines ont exprimé leur appui à la poursuite de cette mission, soulignant l’urgence d’une action coordonnée pour soutenir Haïti dans ces moments difficiles.
Parallèlement, la France a annoncé son intention d’évacuer une partie de son personnel non essentiel en Haïti, invoquant la sécurité de ses ressortissants. Cette décision s’inscrit dans une série de mesures prises par la communauté internationale, dont l’Union européenne, pour protéger son personnel diplomatique face à l’instabilité croissante en Haïti.
Ces événements mettent en lumière l’importance d’une réponse concertée pour stabiliser Haïti et restaurer ses institutions démocratiques. Des efforts diplomatiques sont en cours pour faciliter une transition politique inclusive et organiser des élections transparentes, afin de répondre aux besoins pressants de la population haïtienne.