Le vice-président de l’Association nationale des écoles de conduite (NADS), Kingson Jean, a exhorté la police, en tant que gardienne de l’ordre public, à adopter une position ferme à l’égard des plaques d’immatriculation des véhicules qui ne sont pas conformes à la loi.
La loi impose la taille, la couleur et la police des plaques.
Toutefois, M. Jean estime que la police doit accorder à cette question l’attention qu’elle mérite.
“Je vois beaucoup de minibus et de taxis dont les plaques d’immatriculation sont recouvertes de plastique, ce qui rend difficile la lecture du numéro, surtout la nuit”, a déclaré le vice-président de la NADS au St Lucia Times.
M. Jean a également noté que certaines plaques d’immatriculation comportent des lettres cursives, ce qui rend l’écriture illisible.
À cet égard, le responsable de la NADS s’est dit préoccupé par le fait qu’il serait difficile d’identifier le numéro d’immatriculation du véhicule en cas de collision ou de délit.
“Je pense que les autorités devraient mettre un terme à cette situation, car si vous permettez à une personne de le faire, cela deviendra une tendance”, a déclaré M. Jean au St. Lucia Times.
Il a également ressenti le besoin de s’assurer que les personnes qui fabriquent les plaques d’immatriculation des véhicules respectent la loi.