La première recommandation consiste à demander aux fédérations sportives de “ne pas inviter ou autoriser la participation d’athlètes et d’officiels russes et biélorusses à des compétitions internationales.” Autrement dit, dans l’idéal et si les règlementations le permettent, l’organisateur doit s’assurer qu’aucun athlète ou officiel sportif de ces deux pays ne prenne part à leur compétition. Si cela est impossible “à court terme pour des raisons organisationnelles ou juridiques“, les athlètes concernés ne doivent être autorisés à participer que sous drapeau neutre.
En outre, le CIO annonce retirer l’Ordre olympique de trois parties prenantes à la violation de la trêve olympique, à commencer par le président russe Vladimir Poutine qui l’avait depuis 2001, mais aussi au vice-Premier ministre russe, Dmitry Chernyshenko, et au chef de cabinet adjoint du bureau exécutif présidentiel, Dmitry Kozak.
En plus de ces anonces, le CIO a fait part de sa “fierté” concernant les appels à la paix de nombre d’athlètes et annonce poursuivre son soutien envers l’ukraine avec, notamment, la création d’un fonds de solidarité pour le peuple ukrainien. “Donnez une chance à la paix”, conclut Thomas Bach, président du CIO.